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@ 2013-04-14 16:42 Sven Vermeulen (swift)
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From: Sven Vermeulen (swift) @ 2013-04-14 16:42 UTC (permalink / raw
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swift       13/04/14 16:42:24

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plain: http://sources.gentoo.org/viewvc.cgi/gentoo/xml/htdocs/doc/fr/handbook/index.xml?rev=1.54&content-type=text/plain
diff : http://sources.gentoo.org/viewvc.cgi/gentoo/xml/htdocs/doc/fr/handbook/index.xml?r1=1.53&r2=1.54

Index: index.xml
===================================================================
RCS file: /var/cvsroot/gentoo/xml/htdocs/doc/fr/handbook/index.xml,v
retrieving revision 1.53
retrieving revision 1.54
diff -u -r1.53 -r1.54
--- index.xml	14 Mar 2013 19:37:19 -0000	1.53
+++ index.xml	14 Apr 2013 16:42:23 -0000	1.54
@@ -1,6 +1,6 @@
 <?xml version="1.0" encoding="UTF-8"?>
 <!DOCTYPE guide SYSTEM "/dtd/guide.dtd">
-<!-- $Header: /var/cvsroot/gentoo/xml/htdocs/doc/fr/handbook/index.xml,v 1.53 2013/03/14 19:37:19 swift Exp $ -->
+<!-- $Header: /var/cvsroot/gentoo/xml/htdocs/doc/fr/handbook/index.xml,v 1.54 2013/04/14 16:42:23 swift Exp $ -->
 
 <guide lang="fr">
 <title>Le Manuel Gentoo</title>
@@ -252,9 +252,10 @@
      <uri link="handbook-mips.xml">mips</uri>,
      <uri link="handbook-hppa.xml">hppa</uri>,
      <uri link="handbook-alpha.xml">alpha</uri>
+     <uri link="handbook-ia64.xml">ia64</uri>,
      <br/>
      Non traduits&nbsp;:
-     <uri link="/doc/en/handbook/handbook-ia64.xml">ia64</uri>,
+     
      <uri link="/doc/en/handbook/handbook-arm.xml">arm</uri>
    </ti>
 </tr>
@@ -270,9 +271,10 @@
      <uri link="handbook-mips.xml?full=1">mips</uri>,
      <uri link="handbook-hppa.xml?full=1">hppa</uri>,
      <uri link="handbook-alpha.xml?full=1">alpha</uri>
+     <uri link="handbook-ia64.xml?full=1">ia64</uri>,
      <br/>
      Non traduits&nbsp;:
-     <uri link="/doc/en/handbook/handbook-ia64.xml?full=1">ia64</uri>,
+
      <uri link="/doc/en/handbook/handbook-arm.xml?full=1">arm</uri>
    </ti>
 </tr>
@@ -288,9 +290,10 @@
      <uri link="handbook-mips.xml?style=printable&amp;full=1">mips</uri>,
      <uri link="handbook-hppa.xml?style=printable&amp;full=1">hppa</uri>,
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+     <uri link="handbook-ia64.xml?style=printable&amp;full=1">ia64</uri>,
      <br/>
      Non traduits&nbsp;:
-     <uri link="/doc/en/handbook/handbook-ia64.xml?style=printable&amp;full=1">ia64</uri>,
+   
      <uri link="/doc/en/handbook/handbook-arm.xml?style=printable&amp;full=1">arm</uri>
    </ti>
 </tr>



1.1                  xml/htdocs/doc/fr/handbook/hb-install-ia64-disk.xml

file : http://sources.gentoo.org/viewvc.cgi/gentoo/xml/htdocs/doc/fr/handbook/hb-install-ia64-disk.xml?rev=1.1&view=markup
plain: http://sources.gentoo.org/viewvc.cgi/gentoo/xml/htdocs/doc/fr/handbook/hb-install-ia64-disk.xml?rev=1.1&content-type=text/plain

Index: hb-install-ia64-disk.xml
===================================================================
<?xml version='1.0' encoding='UTF-8'?>
<!DOCTYPE sections SYSTEM "/dtd/book.dtd">

<!-- The content of this document is licensed under the CC-BY-SA license -->
<!-- See http://creativecommons.org/licenses/by-sa/2.5 -->

<!-- $Header: /var/cvsroot/gentoo/xml/htdocs/doc/fr/handbook/hb-install-ia64-disk.xml,v 1.1 2013/04/14 16:42:23 swift Exp $ -->

<sections>

<version>10</version>
<date>2013-02-23</date>

<section>
<title>Introduction aux périphériques de bloc</title>

<subsection>
<include href="hb-install-blockdevices.xml"/>
</subsection>

<subsection>
<title>Partitions</title>
<body>

<p>
Bien qu'il soit théoriquement possible d'utiliser un disque complet pour
héberger votre système Linux, ceci n'est pratiquement jamais fait. À la place,
les périphériques de bloc sont divisés pour être plus petits et plus facilement
gérables. Ces subdivisions sont appelées <e>partitions</e>.
</p>
<p>
Les systèmes Itanium utilisent  l'<e>EFI</e>, ou Extensible Firmware Interface (pour Interface Microcodée Extensible), pour démarrer.  La table de partition que comprend l'EFI est appelée GPT, ou GUID Partition Table. Le programme qui sait lire ces tables est "Parted", c'est donc l'outil auquel nous aurons recours dans ce guide. De plus, EFI ne sait lire les sysèmes de fichiers FAT, c'est donc aussi le système de fichiers à utiliser pour la partition de démarrage, l'endroit où le noyau sera installé par <e>elilo</e>. 
</p>

</body>
</subsection>
<subsection>
<title>Solutions de stockage avancées</title>
<body>

<p>
Les CD d'installation Gentoo pour <keyval id="arch"/> offrent le support des
systèmes LVM2. Les systèmes LVM2  permettent une plus grande
flexibilité dans l'organisation des disques. Le reste de ce guide utilise des
partitions normales, mais vous pouvez activer ces systèmes de stockage avancés
si vous le désirez.
</p>

</body>
</subsection>
</section>
<section>
<title>Concevoir un plan de partitionnement</title>
<subsection>
<title>Plan de partitionnement par défaut</title>
<body>

<p>
Si vous n'êtes pas intéressé par l'établissement d'un plan de partitionnement
pour votre système, vous pouvez utiliser le plan de partitionnement que nous
utilisons dans ce manuel&nbsp;:
</p>

<table>
<tr>
  <th>Partition</th>
  <th>Système de fichiers</th>
  <th>Taille</th>
  <th>Description</th>
</tr>
<tr>
  <ti><path>/dev/sda1</path></ti>
  <ti>vfat</ti>
  <ti>32M</ti>
  <ti>Partition EFI de démarrarge (/boot)</ti>
</tr>
<tr>
  <ti><path>/dev/sda2</path></ti>
  <ti>(swap)</ti>
  <ti>512M</ti>
  <ti>Partition de mémoire virtuelle</ti>
</tr>
<tr>
  <ti><path>/dev/sda3</path></ti>
  <ti>ext4</ti>
  <ti>Rest of the disk</ti>
  <ti>Partition racine (/)</ti>
</tr>
</table>



<p>
Si vous souhaitez savoir la taille qu'une partition doit avoir, ou même
de combien de partitions vous avez besoin, poursuivez la lecture de ce
chapitre. Sinon, poursuivez avec le chapitre   <uri link="#parted">Partitionner votre disque avec parted</uri>.
</p>


</body>
</subsection>
<subsection>
<title>Combien et de quelle taille&nbsp;?</title>
<body>

<p>
Le nombre de partitions dépend beaucoup de votre environnement. Par exemple,
si vous avez beaucoup d'utilisateurs, vous désirerez certainement avoir votre partition
<path>/home</path> séparée afin d'améliorer la sécurité et de simplifier les
sauvegardes. Si vous installez Gentoo comme serveur de courrier, votre partition
<path>/var</path> devrait être séparée étant donné que tous les courriels sont
stockés dans <path>/var</path>. Un bon choix de système de fichiers va vous
permettre d'améliorer les performances. Les serveurs de jeux auront une partition 
<path>/opt</path> séparée étant donné que la plupart des serveurs de jeux sont
installés à cet endroit. La raison est la même que pour la partition
<path>/home</path>&nbsp;: sécurité et sauvegarde. Vous devriez consacrer
suffisamment de place au répertoire <path>/usr</path>, car il contient non
seulement vos applications, mais aussi l'arbre Portage (qui prend 500&nbsp;Mo à
lui seul) et les sources des programmes que vous allez installer.
</p>

<p>
Comme vous pouvez le voir, cela dépend beaucoup de ce que vous souhaitez faire.
Séparer les partitions ou volumes procure les avantages suivants&nbsp;:
</p>

<ul>
<li>
  Vous pouvez choisir le système de fichiers le plus performant pour chaque
  partition ou volume.
</li>
<li>
  Votre système entier ne risque pas d'arriver à court d'espace disque libre si
  un outil défectueux sature l'espace disque d'une partition ou d'un volume.
</li>
<li>
  Si nécessaire, les vérifications des systèmes de fichiers durent moins
  longtemps, vu que de multiples vérifications peuvent être faites en parallèle
  (quoique cet avantage est plus important avec plusieurs disques qu'avec
  plusieurs partitions).
</li>
<li>
  La sécurité peut être améliorée en montant certaines partitions ou volumes
    en lecture seulement, en utilisant <e>nosuid</e> (les bits suid sont ignorés) et
      <e>noexec</e> (les bits exécutables sont ignorés), etc.
</li>
</ul>

<p>
Cependant, avoir de multiples partitions présente un gros désavantage&nbsp;: si elles ne
sont pas configurées correctement, vous risquez d'obtenir un système avec
beaucoup d'espace libre sur une partition et plus du tout sur une autre. Un autre inconvénient est que des partitions séparées, en particulier
  pour des points de montage importants tels que <path>/usr</path> ou <path>/var</path> - requièrent que l'utilisateur amorce avec un <e>initramfs</e> pour 
 monter la partition avant que les scripts de démarrage ne soient lancés. Ce n'est pas toujours le cas cependant, ce qui fait que le résultat 
  peut varier.
</p>

<p>
Notez que les disques SCSI et SATA sont limités à  15-partitions sauf si vous utilisez  des étquettes GPT.
</p>

<p>
Voici un exemple de partitionnement pour un disque de 20&nbsp;Go utilisé sur un
portable de démonstration (contenant un serveur web, un serveur de courrier,
GNOME...)&nbsp;:
</p>

<pre caption="exemple d'utilisation de système de fichiers">
$ <i>df -h</i>
Filesystem    Type    Size  Used Avail Use% Mounted on
/dev/sda5     ext4    509M  132M  351M  28% /
/dev/sda2     ext4    5.0G  3.0G  1.8G  63% /home
/dev/sda7     ext4    7.9G  6.2G  1.3G  83% /usr
/dev/sda8     ext4   1011M  483M  477M  51% /opt
/dev/sda9     ext4    2.0G  607M  1.3G  32% /var
/dev/sda1     ext2     51M   17M   31M  36% /boot
/dev/sda6     swap    516M   12M  504M   2% &lt;not mounted&gt;
<comment>(Espace non partitionné pour utilisation future : 2 Go)</comment>
</pre>

<p>
<path>/usr</path> est plutôt rempli ici (83&nbsp;% utilisés), mais une fois que
tous les programmes sont installés, <path>/usr</path> a une taille relativement
stable. Pour <path>/var</path>, on pourrait croire que trop d'espace a été
alloué. Cependant, Gentoo compile tous les programmes dans
<path>/var/tmp/portage</path>. Si vous voulez allouer relativement peu d'espace
pour <path>/var</path>, par exemple 2&nbsp;Go, vous devrez modifier la
variable <c>PORTAGE_TMPDIR</c>  dans <path>/etc/portage/make.conf</path> pour qu'elle pointe vers une partition qui
dispose d'un espace suffisant pour compiler de très gros paquets tels que
OpenOffice.org.
</p>

</body>
</subsection>
</section>
<section id="parted">
<title>Partitionner votre disque avec parted</title>
<subsection>
<body>

<p>
Dans ce chapitre, nous allons vous guider pour la création des partitions correspondant à notre 
 exemple mentionné plus haut, à savoir&nbsp;:
</p>

<table>
<tr>
  <th>Partition</th>
  <th>Description</th>
</tr>
<tr>
  <ti><path>/dev/sda1</path></ti>
 <ti>Partition d'amorçage EFI</ti>
</tr>
<tr>
  <ti><path>/dev/sda2</path></ti>
  <ti>Partition de mémoire virtuelle</ti>
</tr>
<tr>
  <ti><path>/dev/sda3</path></ti>
  <ti>Partition racine (root) </ti>
</tr>
</table>

<p>
Adaptez ce plan de partitionnement à vos besoins.
</p>

</body>
</subsection>
<subsection>
<title>Affichage du plan de partitionnement courant</title>
<body>

<p>
<c>parted</c> est l'outil GNU de partitionnement.
Lancez <c>parted</c> sur votre disque (dans cet exemple nous utilisons
<path>/dev/sda</path>):
</p>

<pre caption="lancer parted">
# <i>parted /dev/sda</i>
</pre>

<p>
Une fois dans <c>parted</c>, vous serez accueilli par une invite de commande telle que celle-ci&nbsp;:
</p>

<pre caption="invite de commande de parted">
GNU Parted 1.6.22
Copyright (C) 1998 - 2005 Free Software Foundation, Inc.
This program is free software, covered by the GNU General Public License.

This program is distributed in the hope that it will be useful, but WITHOUT ANY WARRANTY; without
even the implied warranty of MERCHANTABILITY or FITNESS FOR A PARTICULAR PURPOSE.  See the GNU
General Public License for more details.

Using /dev/sda
(parted)
</pre>

<p>
Pour découvrir toutes les options offertes par <c>parted</c>, tapez <c>help</c> et 
  tapez <c>Entrée</c>. Pour le moment, continuez simplement en demandant à <c>parted</c> d'afficher 
les partitions actuellement utilisées sur le disque choisi. La commande <c>print</c> peut être utilisée pour cela. 
</p>

<pre caption="un exemple de plan de partitionnement affiché par parted">
(parted) <i>print</i>
Disk geometry for /dev/sda: 0.000-34732.890 megabytes
Disk label type: gpt
Minor    Start       End     Filesystem  Name                  Flags
1          0.017    203.938  fat32                             boot
2        203.938   4243.468  linux-swap
3       4243.469  34724.281  ext4
</pre>

<p>
Cette configuration est très similaire à celle que nous recommandions plus haut. Notez, sur la deuxième ligne que le table des partitions est du type GPT. Si ce type est différent, le système ia64 ne pourra amorcer du disque. Pour les besoins pédagogiques de ce guide, nous allons retirer les partitions et les recréer.
</p>

</body>
</subsection>
<subsection>
<title>Suppression de toutes les partitions</title>
<body>

<note>
contrairement à d'autres outils de partitionnement, comme fdisk, qui diffèrent l'engagement des modifications jusqu'à ce que vous donniez explicitement la commande d'écriture, les commandes de parted ont un effet immédiat. C'est pourquoi, dès que vous avez commencé à ajouter et à retirer des partitions, vous ne pouvez plus tout simplement abandonner et quitter sans rien modifier, les modifications ont déjà eu lieu.
</note>

<p>
La manière le plus facile de retirer toutes les partitions et de redémarrer à zéro, ce qui garantit que nous utilisons le bon type de partitions, est de  créer une nouvelle table des partitions en utilisant la commande <c>mklabel</c> .  Après avoir entré cette commande, vous disposerez d'une table des partitions, GPT, vide.
</p>

<pre caption="créer une nouvelle table des partitions">
(parted) <i>mklabel gpt</i>
(parted) <i>print</i>
Disk geometry for /dev/sda: 0.000-34732.890 megabytes
Disk label type: gpt
Minor    Start       End     Filesystem  Name                  Flags
</pre>

<p>
Maintenant que la table des partitions est vide, vous pouvez y créer les partitions.
Nous utiliserons le plan de partitionnement par défaut vu précédemment. Bien-sûr, vous n'êtes pas forcé de suivres ces instruction à la lettre si vous voulez un autre plan.
</p>

</body>
</subsection>
<subsection>
<title>Création de la partition de démarrage  EFI</title>
<body>

<p>
Commencez par créer une petite partition de démarrage  EFI qui, nous le rappelons, doit recevoir un syscème de fichiers FAT pour être lisible par microcode  <keyval id="arch"/>. Dans notre exemple, cette partition fait 32&nbsp;MO, ce qui est suffisant pour stockere les noyaux et la configuration du chargeur de démarrage <c>elilo</c>. Vous pouvez estimer la taille des noyau  <keyval id="arch"/> à environ 5&nbsp;MB, ce qui vous laisse de la place pour l'expérimentation. 
</p>

<pre caption="créer la partition de démarrage">
(parted) <i>mkpart primary fat32 0 32</i>
(parted) <i>print</i>
Disk geometry for /dev/sda: 0.000-34732.890 megabytes
Disk label type: gpt
Minor    Start       End     Filesystem  Name                  Flags
1          0.017     32.000  fat32
</pre>

</body>
</subsection>
<subsection>
<title>Création de la partition de mémoire virtuelle</title>
<body>

<p>
Créez maintenant une partition de mémoire virtuelle. Ordinairement, sa taille devrait être deux fois la taille de la mémoire RAM du système. Dans les systèmes modernes qui disposent de beaucoup de mémoire, cela n'est plus nécessaire. Pour la plupart des stations de travail, une partition de mémoire virtuelle de 512&nbsp;MO est suffisante. Pour un serveur, vous devriez envisager plus pour anticiper sur les besoins du serveur.
</p>

<pre caption="créer la partition de mémoire virtuelle">
(parted) <i>mkpart primary linux-swap 32 544</i>
(parted) <i>print</i>
Disk geometry for /dev/sda: 0.000-34732.890 megabytes
Disk label type: gpt
Minor    Start       End     Filesystem  Name                  Flags
1          0.017     32.000  fat32
2         32.000    544.000
</pre>

</body>
</subsection>
<subsection>
<title>Création de la partition racine</title>
<body>

<p>
Pour finir, créez la partition racine (/). Dans notre exemple, elle couvre le reste du disque et est formatée en ext4, mais vous pouvez utiliser ext2, jfs, reiserfs ou xfs si vous le souhaitez. Le système de fichiers réel n'est pas créé à cette étape, mais la table des partitions contient seulement une indication sur le type des systèmes de fichiers qui seront hébergés sur chacune des partitions. .
</p>

<pre caption="créer la partition racine">
(parted) <i>mkpart primary ext4 544 34732.890</i>
(parted) <i>print</i>
Disk geometry for /dev/sda: 0.000-34732.890 megabytes
Disk label type: gpt
Minor    Start       End     Filesystem  Name                  Flags
1          0.017     32.000  fat32
2         32.000    544.000
3        544.000  34732.874
</pre>

</body>
</subsection>
<subsection>
<title>Quitter parted</title>
<body>

<p>
Pour quitter parted, saisissez <c>quit</c>.  Il n'est pas nécessaire de sauvegarder le plan de partitionnement car, nous l'avons déjà dit, parted a déjà fait le travail au fil de vos commandes. En quittant parted, rappelez-vous que vous devrez metter à jour votre fichier  <c>/etc/fstab</c>, comme nous le verrons plus loin dans ce guide.
</p>

<pre caption="quitter parted">
(parted) <i>quit</i>
Information: Don't forget to update /etc/fstab, if necessary.
</pre>

<p>
Maintenant que vos partitions sont créées, continuez avec  <uri
link="#filesystems">Création des systèmes de fichiers</uri>.
</p>

</body>
</subsection>
</section>
<section id="filesystems">
<title>Création des systèmes de fichiers</title>
<subsection>
<title>Introduction</title>
<body>

<p>
Maintenant que vos partitions sont créées, il est temps d'y installer un
système de fichiers. Si vous ne vous souciez pas de quel système de fichiers
choisir et êtes satisfait de ceux que nous utilisons par défaut dans ce manuel,
continuez avec <uri link="#filesystems-apply">Application d'un système de
fichiers à une partition</uri>. Sinon, continuez à lire pour en apprendre plus
sur les systèmes de fichiers disponibles.
</p>

</body>
</subsection>

<subsection>
<include href="hb-install-filesystems.xml"/>
</subsection>

<subsection id="filesystems-apply">
<title>Application d'un système de fichiers à une partition</title>
<body>

<p>
Pour créer un système de fichiers sur une partition ou un volume, chaque
système de fichiers fournit ses propres outils&nbsp;:
</p>

<table>
<tr>
  <th>Filesystem</th>
  <th>Creation Command</th>
</tr>
<tr>
  <ti>vfat</ti>
  <ti><c>mkdosfs</c></ti>
</tr>
<tr>
  <ti>ext2</ti>
  <ti><c>mkfs.ext2</c></ti>
</tr>
<tr>
  <ti>ext3</ti>
  <ti><c>mkfs.ext3</c></ti>
</tr>
<tr>
  <ti>ext4</ti>
  <ti><c>mkfs.ext4</c></ti>
</tr>
<tr>
  <ti>reiserfs</ti>
  <ti><c>mkreiserfs</c></ti>
</tr>
<tr>
  <ti>xfs</ti>
  <ti><c>mkfs.xfs</c></ti>
</tr>
<tr>
  <ti>jfs</ti>
  <ti><c>mkfs.jfs</c></ti>
</tr>
</table>
<p>
Par exemple, pour formater la partition de démarrage (<path>/dev/sda1</path>
dans notre exemple) en vfat et la partition principale (<path>/dev/sda3</path>
dans notre exemple) en ext4, nous utiliserons&nbsp;:
</p>


<pre caption="appliquer un système de fichiers à une partition">
# <i>mkdosfs /dev/sda1</i>
# <i>mkfs.ext4 /dev/sda3</i>
</pre>

</body>
</subsection>
<subsection>
<title>Activation de la partition de mémoire virtuelle</title>
<body>

<p>
<c>mkswap</c> est la commande utilisée pour initialiser la partition de mémoire
virtuelle&nbsp;:
</p>
<pre caption="créer une signature de mémoire virtuelle">
# <i>mkswap /dev/sda2</i>
</pre>

<p>
Pour activer la partition de mémoire virtuelle, utilisez <c>swapon</c>&nbsp;:
</p>

<pre caption="activer la partition de mémoire virtuelle">
# <i>swapon /dev/sda2</i>
</pre>

<p>
Créez et activez la partition de mémoire virtuelle maintenant.
</p>

</body>
</subsection>
</section>
<section>
<title>Monter les partitions</title>
<body>

<p>
Maintenant que nos partitions sont initialisées et contiennent un système de
fichiers, il est temps de les monter avec la commande <c>mount</c>. N'oubliez
pas de créer les points de montage nécessaires pour toutes les partitions que
vous avez créées. Par exemple, pour monter les partitions de démarrage et
racine&nbsp;:
</p>

<pre caption="monter la partition racine">
# <i>mount /dev/sda3 /mnt/gentoo</i>
</pre>

<note>
contrairement à d'autres architectures prises en charge par Gentoo, la partition  <path>/boot</path>
n'est pas montée sur un système ia64. La raison en est que la partition de démarrage EFI est montée automatiquement et écrite par la commande  <c>elilo</c> à chaque fois que vous l'utilisez. À cause de celà, le dossier <path>/boot</path> reside sur le système de fichiers racine et c'est là que sont placés les noyaux auxquels votre configuration <c>elilo</c> fait référence.
</note>

<note>
si vous installez <path>/tmp</path> sur une partition séparée, n'oubliez pas de
définir les permissions nécessaires après avoir monté la partition. Utilisez la
commande <c>chmod 1777 /mnt/gentoo/tmp</c>. La même remarque s'applique à
<path>/var/tmp</path>.
</note>
<p>
Nous devrons également monter le système de fichiers proc (une interface
virtuelle avec le noyau) sur <path>/proc</path>, mais nous devons d'abord placer
nos fichiers sur les partitions.
</p>

<p>
Continuez avec <uri link="?part=1&amp;chap=5">Installer les fichiers
d'installation de Gentoo</uri>.
</p>

</body>
</section>
</sections>



1.1                  xml/htdocs/doc/fr/handbook/hb-install-ia64-kernel.xml

file : http://sources.gentoo.org/viewvc.cgi/gentoo/xml/htdocs/doc/fr/handbook/hb-install-ia64-kernel.xml?rev=1.1&view=markup
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Index: hb-install-ia64-kernel.xml
===================================================================
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<sections>

<version>21</version>
<date>2013-04-06</date>

<section>
<title>Installer les sources</title>
<subsection>
<title>Choisir un noyau</title>
<body>

<p>
Le cœur autour duquel sont bâties toutes les distributions est le noyau (en
anglais «&nbsp;kernel&nbsp;») Linux. Ce noyau est l'interface entre les
programmes utilisateur et le matériel. Gentoo offre un choix de plusieurs noyaux
à ses utilisateurs. Une liste complète, accompagnée de descriptions, est
disponible dans le <uri link="/doc/fr/gentoo-kernel.xml">Guide du noyau Gentoo
Linux</uri>.
</p>

<p>
Pour les systèmes <keyval id="arch"/>, nous offrons, entre autres, les
<c>gentoo-sources</c> (un noyau modifié par l'ajout de fonctionnalités
supplémentaires.
</p>

<p>
Choisissez les sources à utiliser pour votre noyau et installez-les avec
<c>emerge</c>.
</p>

<pre caption="installer les sources d'un noyau">
# <i>emerge gentoo-sources</i>
</pre>

<p>
Si vous examinez le contenu de <path>/usr/src</path>, vous devriez voir un lien
symbolique nommé <path>linux</path> qui pointe vers les sources de votre noyau.
L'exemple suivant pointe vers <c>gentoo-sources-<keyval
id="kernel-version"/></c>, mais vous aurez sans doute installé une autre
version.
</p>

<pre caption="examiner le lien symbolique vers le noyau">
# <i>ls -l /usr/src/linux</i>
lrwxrwxrwx   1 root   root     12 Oct 13 11:04 /usr/src/linux -&gt; linux-<keyval id="kernel-version"/>
</pre>

<p>
Il est maintenant temps de configurer et de compiler votre noyau. Vous pouvez
utiliser <c>genkernel</c>. Cette commande construira un noyau générique tel que
celui utilisé par le CD d'installation. Toutefois, nous expliquerons d'abord la
configuration «&nbsp;manuelle&nbsp;», puisque c'est la meilleure façon
d'optimiser votre environnement.
</p>

<p>
Si vous souhaitez configurer manuellement votre noyau, poursuivez votre lecture
avec <uri link="#manual">Par défaut&nbsp;: configuration manuelle</uri>. Si vous
souhaitez utiliser <c>genkernel</c>, vous devriez plutôt lire <uri
link="#genkernel">Alternative&nbsp;: utiliser genkernel</uri>.
</p>


</body>
</subsection>
</section>
<section id="manual">
<title>Par défaut&nbsp;: configuration manuelle</title>
<subsection>
<title>Introduction</title>
<body>

<p>
Configurer un noyau manuellement est parfois considéré comme la tâche la plus ardue que les
utilisateurs de Linux doivent accomplir. Rien n'est moins vrai... Après
avoir configuré quelques noyaux, vous ne vous rappellerez même plus que c'était
difficile ;)
</p>

<p>
Toutefois, une chose est vraie&nbsp;: vous devez connaitre votre système pour
configurer manuellement un noyau. La majeure partie des informations peut être
obtenue en utilisant la commande <c>lspci</c> qui est dans le paquet pciutils
(<c>emerge pciutils</c>). Vous pourrez désormais utiliser <c>lspci</c> depuis
votre environnement en chroot. Vous pouvez ignorer les avertissements
<e>pcilib</e> (comme par exemple&nbsp;: pcilib: cannot open
/sys/bus/pci/devices) que vous obtiendrez avec <c>lspci</c>. Vous pouvez
également exécuter <c>lspci</c> depuis un environnement <e>non chrooté</e>. Le
résultat est le même. Vous pouvez également exécuter <c>lsmod</c> pour voir les
modules du noyau utilisés par le CD-ROM d'installation (ce qui peut vous donner
des indices sur les fonctionnalités nécessaires).
</p>

<p>
Maintenant, allez dans le dossier des sources du noyau et exécutez <c>make
menuconfig</c>. Cela ouvrira un menu de configuration basé sur ncurses.
</p>

<pre caption="lancer menuconfig">
# <i>cd /usr/src/linux</i>
# <i>make menuconfig</i>
</pre>

<p>
Plusieurs sections d'options de configuration s'afficheront. Nous allons
d'abord dresser la liste de certaines options que vous devez activer (sinon,
Gentoo ne fonctionnera pas ou, du moins, pas sans quelques réglages
additionnels).
</p>

</body>
</subsection>

<subsection>
<title>Activer les options requises</title>
<body>


<p>
Veuillez vérifier que tous les pilotes nécessaires au démarrage de votre système
tels que le pilote de votre carte SCSI sont compilés en dur et non comme
modules, sinon le système ne démarrera pas.
</p>

<p>
Vous devez maintenant choisir exactement le bon type de processeur. Si vous ignorez de quel type est votre système  IA64 , <c>DIG-compliant</c> est un bon choix par défaut. Si vous installez sur un système SGI, assurez-vous d'avoir sélectionné le type de système SGI, sinon votre noyau peut se verrouiller et refuser de démarrer. 
</p>

<pre caption="sélectionner le type correct de système">
System type ---&gt;
  <comment>(Changez en fonction de votre système)</comment>
  <i>DIG-compliant</i>
Processor type ---&gt;
  <comment>(Changez en fonction de votre système)</comment>
  <i>Itanium 2</i>
</pre>

<p>
Ensuite choisissez <e>Maintain a devtmpfs file system to mount at /dev</e> de telle manière que vos fichiers de périphérique critiques soient montés précocément pendant la phase de démarrage. 
</p>

<pre caption="activer la prise en charge de devtmpfs">
Device Drivers ---&gt;
  Generic Driver Options ---&gt;
    [*] Maintain a devtmpfs filesystem to mount at /dev
    [ ]   Automount devtmpfs at /dev, after the kernel mounted the rootfs
</pre>

<p>
Ensuite allez à la section <c>File Systems</c> et activez la prise en charge nécessaire pour les
systèmes de fichiers que vous utilisez. Ne compilez <e>pas</e> le système de fichiers que vous utilisez pour la partititon racine sous forme de
module, sinon votre système Gentoo ne pourra pas monter vos partitions. Activez
aussi <c>Virtual memory</c> et <c>/proc file system</c>.
</p>

<pre caption="sélectionner les systèmes de fichiers requis">
File systems ---&gt;
  Pseudo Filesystems ---&gt;
    [*] /proc file system support
    [*] Virtual memory file system support (former shm fs)

<comment>(Sélectionner une option ou plus selon les besoins de votre système)</comment>
  &lt;*&gt; Reiserfs support
  &lt;*&gt; Ext3 journalling file system support
  &lt;*&gt; JFS filesystem support
  &lt;*&gt; Second extended fs support
  &lt;*&gt; XFS filesystem support

<comment>(Assurez vous de valider la prise en charge de  VFAT pour la partition EFI)</comment>
  DOS/FAT/NT Filesystems  ---&gt;
    &lt;*&gt; VFAT (Windows-95) fs support

<comment>(Activez le support des étiquettes de partition GPT si vous les avez utilisées précédemment)</comment>
-*- Enable the block layer --->
    ...
    Partition Types --->
    [*] Advanced partition selection
      ...
      [*] EFI GUID Partition support
</pre>

<p>
Si vous utilisez PPPoE ou un modem classique pour vous connecter à Internet,
vous aurez besoin des options  suivantes du noyau&nbsp;:
</p>

<pre caption="sélectionner les pilotes  PPPoE nécessaires">
Device Drivers ---&gt;
  Network device support ---&gt;
    &lt;*&gt; PPP (point-to-point protocol) support
    &lt;*&gt;   PPP support for async serial ports
    &lt;*&gt;   PPP support for sync tty ports
</pre>

<p>
Les deux options de compression ne vous feront pas de mal, mais ne sont pas
absolument nécessaires. L'option <c>PPP over Ethernet</c> n'est pas obligatoire
non plus, considérant qu'elle pourrait n'être utilisée que par <c>ppp</c>
lorsque ce dernier est configuré pour utiliser PPPoE en mode noyau.
</p>

<p>
Si vous en avez besoin, n'oubliez pas d'ajouter le support pour votre carte
Ethernet.
</p>

<p>
Si vous avez un système Opteron multiprocesseurs ou multicœur (AMD64 X2 par
ex.), vous devriez activer «&nbsp;Symmetric multi-processing support&nbsp;».
</p>

<pre caption="activer la prise en charge de SMP">
Processor type and features  ---&gt;
  [*] Symmetric multi-processing support
</pre>
<note>
notez que chaque cœur compte
pour un processeur.
</note>
<p>
Si vous utilisez des périphériques d'entrée USB (un clavier ou une souris par
exemple), n'oubliez pas les options suivantes&nbsp;:
</p>

<pre caption="activer le support USB pour des périphériques d'entrée">
Device Drivers ---&gt;
  [*] HID Devices  ---&gt;
    &lt;*&gt;   USB Human Interface Device (full HID) support
</pre>

<p>
Lorsque vous aurez terminé la configuration de votre noyau, poursuivez avec la
section <uri link="#compiling">Compilation et installation</uri>.
</p>

</body>
</subsection>
<subsection id="compiling">
<title>Compilation et installation</title>
<body>

<p>
Maintenant que votre noyau est configuré, il est temps de le compiler et de
l'installer. Quittez la configuration et lancez la compilation&nbsp;:
</p>

<pre caption="compiler le noyau">
# <i>make &amp;&amp; make modules_install</i>
</pre>

<p>
When the kernel has finished compiling, copy the kernel image to <path>/</path>.
Use whatever name you feel is appropriate for your kernel choice and remember it
as you will need it later on when you configure your bootloader. Remember to
replace <c>vmlinuz</c> with the name and version of your kernel.
</p>

<pre caption="installer the kernel">
# <i>cp vmlinux.gz /boot/vmlinuz</i>
</pre>

</body>
</subsection>
<subsection id="initramfs">
<title>(Facultatif) Construction d'un disque virtuel de démarrage (Initramfs)</title>
<body>

<p>
Si vous utilisez un plan de partitionnement où des dossiers importants 
(tels que <path>/usr</path> ou <path>/var</path>) sont sur des partitions séparées, vous devez définir un disque virtuel initial (initramfs) pour que ces partitions puissent être montée avant d'en avoir besoin.
</p>

<p>
Sans cet <e>initramfs</e> le système risque de ne pas démarrer correctement car les outils nécessaires au montage des systèmes de fichiers ont besoin d'informations qui se trouvent sur ces systèmes de fichiers. Un <e>initramfs</e> va mettre à disposition ces fichiers dans une archive qui sera utilisée juste après le démarrage du noyau, mais avant que le contrôle ne soit transmis aux outils  <c>init</c>. Des scripts sur l'<e>initramfs</e> s'assurerons que les partitions sont montées correctement avant de laisser le système continuer le démarrage.
</p>

<p>
Pour installer un disque virtuel de démarrage (initramfs), installez d'abord <c>genkernel</c> , et demandez-lui de créer ce disque virtuel pour vous.
</p>

<pre caption="construire/compiler un disque virtuel de démarrage (initramfs)">
# <i>emerge genkernel</i>
# <i>genkernel --bootdir=/. --no-mountboot --install initramfs</i>
</pre>

<p>
Si vous avez besoin d'une prise en charge particulière dans l'initramfs telle que lvm ou raid, ajoutez les options appropriées au noyau.  Voyez <c>genkernel --help</c> pour plus d'informations, ou l'exemple qui suit qui active la prise en charge de LVM et du logiciel raid.
(mdadm):
</p>

<pre caption="constuire/compiler un initramfs avec prise en charge de LVM et du logiciel raid">
# <i>genkernel --bootdir=/. --no-mountboot --lvm --mdadm --install initramfs</i>
</pre>
 
<p>
L'initramfs sera stocké sur <path>/</path>. Vous pouvez trouver le fichier en listant les fichiers qui commencent par <path>initramfs</path>&nbsp;:
</p>

<pre caption="vérifier le nom de l'initramfs">
# <i>ls /initramfs*</i>
</pre>

<p>
Maintenant continuez avec <uri link="#kernel_modules">Les modules du noyau</uri>.
</p>

</body>
</subsection>
</section>
<section id="genkernel">
<title>Alternative&nbsp;: utiliser genkernel</title>
<body>

<p>
Si vous lisez cette section, vous avez choisi d'utiliser le script
<c>genkernel</c> pour configurer votre noyau pour vous.
</p>

<p>
Maintenant que l'arbre des sources de votre noyau est installé, il est temps de
compiler ce noyau à l'aide du script <c>genkernel</c> qui construira
automatiquement un noyau dont la configuration sera presque identique à celle du
noyau du CD d'installation. Cela signifie que si vous utilisez <c>genkernel</c>
pour construire votre noyau, votre système détectera généralement tout votre
matériel au moment de l'amorçage, à la manière du CD d'installation. Puisque
genkernel ne requiert aucune configuration manuelle, il s'agit d'une solution
idéale pour l'utilisateur rebuté par l'idée de compiler son propre noyau.
</p>

<p>
Maintenant, voyons comment utiliser genkernel. D'abord, installez genkernel
comme suit&nbsp;:
</p>

<pre caption="installer genkernel">
# <i>emerge genkernel</i>
</pre>

<p>
Ensuite, compilez les sources du noyau en exécutant <c>genkernel all</c>.
Puisque <c>genkernel</c> compile un noyau qui supporte presque n'importe quel
matériel, ne soyez pas surpris que la compilation demande un temps considérable.
</p>

<note>
si vous utilisez LVM2, vous voudrez
sans doute ajouter l'option  <c>--lvm2</c>.
</note>

<pre caption="exécuter genkernel">
# <i>genkernel --bootdir=/. --no-mountboot all</i>
</pre>

<p>
Lorsque <c>genkernel</c> aura fini son travail, un noyau, un ensemble complet de
  modules et un <e>disque virtuel initial </e> (initramfs) auront été créés. Le
noyau et initrd seront utilisés plus tard lors de la configuration du chargeur
de démarrage. Notez bien les noms du noyau et du initrd puisque vous devrez les
spécifier lors de l'écriture du fichier de configuration du chargeur de
démarrage. L'initrd sera démarré immédiatement après l'amorçage afin de réaliser
l'autodétection du matériel (tout comme pour le CD d'installation) avant que
votre «&nbsp;véritable&nbsp;» système ne démarre.
</p>

<pre caption="Vérifier les noms de l'image du noyau et du fichier initrd">
# <i>ls /kernel* /initramfs*</i>
</pre>

</body>
</section>
<section id="kernel_modules">
<title>Les modules du noyau</title>

<subsection>
<include href="hb-install-kernelmodules.xml"/>
</subsection>

</section>
</sections>





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2013-04-14 16:42 [gentoo-commits] gentoo commit in xml/htdocs/doc/fr/handbook: hb-install-ia64-disk.xml hb-install-ia64-kernel.xml index.xml Sven Vermeulen (swift)

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